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Les 3 risques les plus courants en TPE / PME

Dernière mise à jour : 26 nov. 2020

Longtemps considéré comme l’apanage des seules grandes sociétés, dont les stratégies nécessitaient une appréhension et une maîtrise fines évènements : les risques concernent toute entreprise aussi modeste soit-elle.


De nombreux facteurs sociaux, économiques, sanitaires, technologiques, viennent cruellement rappeler que nulle organisation n’est à l’abris de risques pour sa pérennité.


Alors, pour ne pas se trouver rapidement en danger, voici les 3 risques que toute structure n’a plus le luxe d’ignorer :




#01 / Ne pas identifier ses risques

Faire l’erreur de croire que les compétences, le courage, l’investissement sans faille et l’expérience suffisent à écarter tout risque peut être fatale. Celle de penser qu’il n’y a qu’a attendre que les risques se produisent pour savoir comment les maîtriser également…

Bien évidemment une société, tout comme un prestataire en libéral, ont certainement déjà la capacité à dépasser les risques les plus communs de manière intuitive, sur la base de l’expertise.


Mais aucun contexte professionnel n’échappe plus aujourd’hui à la nécessité d’évolution de plus en plus rapide imposée par des contextes concurrencés, par le développement d’une technologie qui n’ignore plus aucun secteur. De récents évènements nous ont démontré que des phénomènes mondiaux peuvent, de manière soudaine, impacter autant les grandes entreprises que les très petites structures.


Alors, penser que l’ont peut « attendre » les risques, « qu’être et savoir » suffit à prévenir les risques est un comportement dangereux, souvent irresponsable.


Or : identifier les risques, pondérer ceux qui représentent une réelle menace, demeurer vigilant en surveillant les risques émergeants, identifier les actions nécessaire à les maîtriser, procèdent d’approches et de méthodes connues et éprouvées depuis des décennies.


Le temps de déployer une anticipation des risques et de mettre en œuvre les quelques actions majeures nécessaires est souvent un temps parfaitement négligeable par rapport au durées et aux répercussions de la gestion d’une crise.


L’identification et la gestion des risques sont des investissements capitaux au même titre que les investissements dans l’image (marketing, commercial…) ou les ressources (technologie, moyens…) d’une société.


Une crise n’en est plus une lorsqu’elle a été imaginée « avant »…


 
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#02 / Penser être légitime dans toute expertise

Syndrome souvent vécu par les « self made woman / man » : la réussite fait parfois oublier qu’il n’est pas possible ni raisonnable de vouloir acquérir toutes les expertises.


Vous êtes un expert de votre domaine précis ? Mais pas forcément celle ou celui de la dernière plateforme à la mode de création de votre site internet…


Vous avez développé et breveté un produit technique ? Mais le vendre nécessite d’autres compétences que le génie de la conception…



Penser être capable de tout, devoir tout maîtriser de votre activité est une manière, au mieux, de perdre un temps précieux à acquérir une expérience qui existe déjà ailleurs, au pire : un risque de perdre le fil, la logique ou la stratégie nécessaire à votre pérennité.


Même pour un.e indépendant.e, c’est une illusion de maîtrise.


Les organisations nécessitent à présent de se montrer agiles : de chercher les « nouvelles » compétences auprès de celles qui en disposent afin de gagner un temps et une expertise précieux.


D’autant que les récentes manières de collaborer, mettre en relation les compétences, permettent une agilité d’appel aux bonnes compétences dans des délais rapides et sur des laps de temps minimums.


Investir sur des compétences éprouvées, mêmes externes, est la meilleure manière de développer son cœur de métier.



#03 / Négliger la concurrence

Quelles que soient les habitudes, les expertises, les niches, la fidélité de la clientèle : ne pas suivre la concurrence et, pire, ne pas savoir où les nouvelles concurrences vont naitre, est suicidaire.

Vous n’êtes plus seulement confrontés à de nouveaux concurrents, mais cette concurrence est aujourd’hui exacerbée par d’autres domaines qui, fort de leur développement, peuvent rapidement devenir des concurrents redoutables.


Exemple flagrant des récentes crises des licences de taxi, dans un métier dont le sort est certainement déjà joué à l’ombre de l’intelligence artificielle et des véhicules autonomes.


La concurrence ne vient pas des professionnels de ce mode de transport, mais de l’informatique pure.


Paradoxal à une ère de l’information ou quelques heures suffisent à identifier ses concurrents directs, les concurrences parallèles et les ruptures en devenir auxquelles il est nécessaire de s’adapter rapidement.


Veiller la concurrence, aussi succincte que soit la démarche, permet d’identifier les tendances et les retournements annoncés d’une profession.


 
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